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    La miniaturisation des technologies autorise l'existence de mini-drones silencieux pouvant projeter une image holographique sur notre visage. Chaque personne peut désormais avoir un style bien à lui, se créer une identité visuelle unique, ce qu'on a appelé le Look Chimérique. Exemples d'ajouts populaires : cheveux dynamiques, tâches de rousseur, couleur de peau rouge, bleue, verte, tatouages animés, scarifications, branchies de poisson, écritures, teint bronzé, vieillissement prématuré de la peau, excroissances fantastiques (cornes de démons, peau en écailles, oreilles d'elfe...)

    Avec l’avènement des voitures autonomes partagés, il y a de moins en moins de voitures sur le marché. Des dispositifs comme Halfgrid (par la Half-Company), réinventent le téléphérique urbain. Suspendues à des câbles fixes à travers de petites plateformes électriques, les cabines se déplacent toutes seules, n’accueillent que un passager (+ un enfant) maximum.. Les clients réservent à l'avance leur transport et n'ont plus qu'à embarquer dans la cabine vide posée au sol de l'arrêt le plus proche et à se laisser porter jusqu'à leur destination. Des panneaux photovoltaïques posés au-dessus de la cabine permettent d'alimenter le système.

    La technologie Hyperloop, qui permet de faire des trajets avec une pointe à 1000km/h, et enfin opérationnelle ! Les double tubes surélevés et couverts de panneaux photovoltaïques, sont vidés d'air et grâce à la lévitation magnétique passive, le train peut relier Saint-Étienne à Lyon en 15mn !

    A l'occasion de la 50ème édition de Pléiades, l'artiste Jen Ekzistpä a conçu une pergola rendant hommage à la construction de la première ligne de chemin de fer française, qui reliait Saint-Étienne à Andrézieux, pour le transport de charbon. L'artiste réinvente le principe de la Porte, l'entrée dans la ville se fait à travers deux plaques transparentes, qui absorbent la couleur, surmontées par des rails de trains reconstitués grâce à l'impression 3D. Des pierres peintes en noir, symbolisant le charbon, lévitent grâce à des magnets placés en disposition de Halbach (aimants placés de telle sorte à ce que le champ magnétique soit éliminé d'un côté.

    Les passages piétons interactifs sont développés par la société Umbrellium au Royaume-Uni. Un premier prototype a été récemment testé à Londres. Les bandes du passage piéton ne s'affichent que lorsque l'intelligence artificielle détecte un piéton. Si elle détecte une voiture, le passage piéton reste inactif.

    A vos pieds, vous remarquez ce qui semble être à première vue un vulgaire bout de métal, un déchet abandonné sur le parvis de la gare... Pourtant, votre œil d'expert.e en Art ne vous trompe pas ! En touchant l'objet, vous reconnaissez un système de LED, de discrets reflets rouges sur les bordures... Vous êtes devant un morceau de l’œuvre "Frame Perspective", d'Olivier Ratsi... Mais que fait ici un morceau d'une œuvre qui a été exposée lors de la troisième édition de Pléiades ? C'est très curieux, non ? Vous remarquez, gravé sur l'objet, trois lettres : "BRA".

    A vos pieds, vous remarquez ce qui semble être à première vue un vulgaire bout de métal, un déchet abandonné sur le parvis de la gare... Pourtant, votre œil d'expert.e en Art ne vous trompe pas ! En touchant l'objet, vous reconnaissez un système de LED, de discrets reflets rouges sur les bordures... Vous êtes devant un morceau de l’œuvre "Frame Perspective", d'Olivier Ratsi... Mais que fait ici un morceau d'une œuvre qui a été exposée lors de la troisième édition de Pléiades ? C'est très curieux, non ? Vous remarquez, gravé sur l'objet, trois lettres : "BRA".

    A vos pieds, vous remarquez ce qui semble être à première vue un vulgaire bout de métal, un déchet abandonné sur le parvis de la gare... Pourtant, votre œil d'expert.e en Art ne vous trompe pas ! En touchant l'objet, vous reconnaissez un système de LED, de discrets reflets rouges sur les bordures... Vous êtes devant un morceau de l’œuvre "Frame Perspective", d'Olivier Ratsi... Mais que fait ici un morceau d'une œuvre qui a été exposée lors de la troisième édition de Pléiades ? C'est très curieux, non ? Vous remarquez, gravé sur l'objet, trois lettres : "BRA".

    A vos pieds, vous remarquez ce qui semble être à première vue un vulgaire bout de métal, un déchet abandonné sur le parvis de la gare... Pourtant, votre œil d'expert.e en Art ne vous trompe pas ! En touchant l'objet, vous reconnaissez un système de LED, de discrets reflets rouges sur les bordures... Vous êtes devant un morceau de l’œuvre "Frame Perspective", d'Olivier Ratsi... Mais que fait ici un morceau d'une œuvre qui a été exposée lors de la troisième édition de Pléiades ? C'est très curieux, non ? Vous remarquez, gravé sur l'objet, trois lettres : "BRA".

    Des entreprises comme Glowee étudient le biomimétisme et proposent de l'éclairage urbain biologique, sans électricité. L’énergie à l’origine de la lumière viendrait directement de micro-organismes vivants. Transparent le jour et visible la nuit, cet éclairage discret mais efficace n’engendre pas de pollution lumineuse.

    La cabine intègre un écran utilisant une solution haptique. La science de l’haptique – science du toucher – transforme les ultra-sons issus du frottement de nos doigts sur un écran en véritable sensation de toucher un objet, différentes selon la fréquence utilisée. La sensation du tissu, du métal, les contours d’un objet sont perçus par nos doigts alors même qu’ils sont simplement en train d’effleurer un écran d’ordinateur ou de Smartphone. Cette technologie permet aux personnes déficientes visuelles de lire du braille sur un écran.

    Les panneaux publicitaires du futur cumulent deux technologies : Des dispositifs comme les Poikilohydric Living Walls de Marco Cruz, créent de la végétation qui ne nécessite pas d'intervention humaine ou mécanique. Un nouveau type de béton biologiquement modifié, allié à du liège, permet de stocker l'eau de pluie et donne un nouveau substrat aux plantes. Ce système permet la croissance de micro-organismes (lychens, mousses...) qui émettent de l'oxygène, absorbent le CO2, l'azote et les polluants urbains. Des entreprises comme Glowee étudient le biomimétisme et proposent de l'éclairage urbain biologique, sans électricité. L’énergie à l’origine de la lumière viendrait directement de micro-organismes vivants. Transparent le jour et visible la nuit, cet éclairage discret mais efficace n’engendre pas de pollution lumineuse.